On s’étonne toujours du réalisme sans cesse croissant des jeux vidéo dont sont si friands nos chères têtes blondes.
Cette fois cela est peut-être allé trop loin. A vous de juger chers lecteurs.
L’accusé est la franchise nommée Dead Rising. Ce jeu consiste à massacrer du zombie avec un attirail divers et varié.
Il a été annoncé récemment la préparation d’un add-on au troisième volet sorti il y a quelques mois déjà.
Les concepteurs ont beau prétendre que le projet initial remonte à presque un an, certains éléments rappellent des évènements bien plus récents. Car pour votre plus grand plaisir nous nous sommes procurés la version beta.
Déjà la ressemblance de certains lieux avec d’autres biens réels de la ville de Seattle est troublante.
Passons aux personnages jouables. Pour l’instant ils sont au nombre de deux.
Tout d’abord il y a un journaliste pouvant engranger des bonus en prenant des photos. C’était déjà le cas dans le premier volet. Un hommage ? Alors pourquoi n’avoir pas pris le même personnage ?
Surtout que le petit nouveau se nomme Alan Buticci, un nom à consonance italienne comme un certain Jake Natucci. Vous savez le journaliste devenu célèbre au niveau local pour son article sur notre invasion de faux mort-vivants.
Et comme visiblement les ficelles n’étaient pas assez grossières, on peut noter également une certaine ressemblance physique malgré la résolution encore faible. Il suffit juste de rajouter une moustache et un costume numériquement.
Le deuxième protagoniste est encore au stade d’ébauche, mais déjà le plagiat se ressent. Il s’agit d’une policière ayant des origines moyen-orientales ainsi qu’une forte poitrine.
Vous aurez sans doute deviné la référence à notre chère Bouchra Mobasheer célèbre pour avoir fidélisé (temporairement ?) notre COP si volage.
Je rappelle que notre confrère Natucci l’avait impliqué dans une enquête policière sur les origines de l’infection.
Quant au grand méchant du jeu l’image parle d’elle-même.
Et après on n’accuse les journaux (et tout particulièrement le nôtre) de n’être qu’un ramassis de vautours, qui fait du profit sur le malheur humain.
La preuve est faite à présent qu’il faut chercher dans une autre direction.