Zombies : le Complot !

La semaine dernière, Seattle a basculé dans le surréalisme. Sortis tout droit des films de science-fiction, des zombies parcouraient nos rues, agressaient violemment n’importe qui qui passait à portée de leurs crocs. Les habitants de cette ville, toujours sous le choc, commencent à reconstruire, pansent leurs plaies et enterrent leurs morts. Pendant ce temps, maire ad interim et candidat maire, procureur sortant et candidat procureur s’égratignent stérilement sur les plateaux de télévision. Ils font ce qu’ils savent faire de mieux : ils s’écoutent parler. Mais qui est là pour agir ? Qui pose les bonnes questions ? Car il y a des questions à se poser.

barack-obama-s-est-illustre-avec-sa-performancePersonne ne peut dire à l’heure actuelle ce qui a provoqué le phénomène zombie. Si on peut raisonnablement mettre de côté l’hypothèse de la réanimation des morts, aucun expert ne peut encore affirmer avec certitude s’il s’agit d’une drogue, d’un poison, ou d’un virus. La dernière hypothèse semble néanmoins la moins plausible. Si tel avait été le cas, il y aurait fort à parier que l’invasion ferait toujours rage en ce moment et continuerait à se propager. Il n’en reste pas moins que la seule certitude à l’heure actuelle, c’est que l’origine du désastre est bien criminelle. Dès lors, les seuls questions importantes sont : qui ? Et : comment empêcher que ça ne se reproduise ?

Pour répondre à la première question, tout bon détective (c’est-à-dire personne dans notre ville) commencerait par demander à qui profite de crime. Alors à qui profite le crime ? A la politicienne corrompue Mason Drake qui, en bénéficiant de l’effet « martyr » dû à la disparition de D’Aliso va sans doute empocher le fauteuil de maire lors des prochaines élections ? A son ami l’avocat véreux Stanley Donington (ne laissez personne vous dire que ces gens là ne s’entendent pas entre eux) qui a un argument de plus pour attaquer sa rivale chinoise ? Oui, mais ceux là ne sont que du menu fretin. Ils n’ont pas les épaules pour lancer une opération de cette envergure.

 

Il y a un mois et demi, le Président Obama recevait à la Maison Blanche, dans le cadre d’une levée de fonds pour la recherche sur les cellules souches, le docteur Gabriel Sedgwick, spécialiste en microbiologie du MIT. Le même professeur Sedgwick, connu dans les années 90 pour sa participation à un programme de la CIA sur les armes bactériologiques (recherche purement théorique bien sûr), rencontrait trois semaines auparavant à Stockholm, le chef du contre-espionnage iranien, Areman Khatema.

Il parait évident que nous avons affaire à un remake du 11 septembre. Si l’échelle de l’attaque est moindre, les effets seront les mêmes. L’administration Obama se targue de ne pas répéter les erreurs de Bush, mais à un moment où la NSA est éclaboussée par un scandale par semaine, l’occasion sera belle de justifier un renforcement du Patriot Act et ainsi encore augmenter la surveillance des citoyens de ce pays. Il est évident que l’administration Obama a organisé l’invasion zombie pour influencer l’opinion publique et augmenter les capacités de surveillance du gouvernement.

Une fois cette surveillance mise en place, les citoyens gênants seront discrètement éliminés et le gouvernement pourra lancer sa campagne militaire contre l’Iran dont le gouvernement est complice et ainsi faire fonctionner l’industrie de l’armement qui est, comme chacun sait, aux mains du lobby juif. Ce sera encore une avancée pour le complot judéo-maçonnique qui n’est déjà plus qu’à un pas de contrôler ce pays et tous ses habitants.

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